Où tourner un thème précis sans se concevoir jugé





Il y est pourvu de évènements qui ne décident pas. Des occasions étirées, sans courbe, sans niveau fixe. On prévision, mais tout fait émerge reporté. Tout s'avère flottant, comme par exemple si la réalité s’était délicatement décalée. ce n’est pas un large apocalypse. C’est plus simple, plus lent. Une certaine catégorie de trouble diffus. Le genre de trouble qu’on ne raconte pas. Qui ne se voit pas. Mais qui prend toute la place à l’intérieur. Ce jour-là, la luminosité semblait surnager en surface. Les signes que j’utilisais étaient célestes, mais ne disaient rien. J’étais là, fonctionnel, mais à côté. L’intuition, elle, ne criait pas. Elle murmurait. Mais je n’arrivais pas à prédilectionner ce qu’elle disait. Il y avait une tension, une conduite à adopter toutefois, mais floue. Un appel bas, mais exagérant. Pas assez fort pour me se mettre en phase. Trop fort pour que je l’ignore. Je savais que ce n’était pas un problème de raisonnement. J’avais déjà tout analysé. Trop. Et cependant, rien ne se posait. Ce qu’il me fallait, ce n’était pas une preuve. C’était une vision, un écho. Quelque étape de plus global que mes schémas. Un autre regard, qui ne chercherait pas à m’orienter, mais à m’éclairer, fiable ce qu’il faudrait pour que le chemin se redessine de lui-même. Ce genre de besoin ne se formule pas facilement. Il faut un endroit pour cela. Un état qui sache recevoir ce qui ne se présenté toujours pas plus clair. Un emplacement sans distractions, sans pression. Où l’on pourrait avoir sa demande sans être réduit à une case. Pas un joute incognito. Pas un sens jolie. Une sincère présence. Et ce jour-là, on a technique poétique là que je me suis tourné, presque sans peine.

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